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  • Photo du rédacteurEmilie BELLANGER

B comme Branches

Pour ce deuxième jour du #ChallengeAZ, j’ai choisi de vous parler de branches. Comme évoqué succinctement dans mon article d’hier, nos arbres généalogiques sont composés de branches.



En généalogie ascendante, c’est-à-dire en remontant les ancêtres en ligne directe, nous trouverons les branches paternelles et maternelles. Chaque individu ayant chacun une branche paternelle et une branche maternelle, on peut dire en partant de nous-même que les branches paternelles et maternelles se divisent en rameaux. Comme je l’évoquais hier, on peut ainsi choisir d’étudier l’ascendance par les hommes de père en fils mettant en exergue la filiation par le nom de famille, le patronyme ou d’étudier l’ascendance par les femmes de mère en fille, les noms de famille étant alors différents. On peut également faire le choix d’étudier toutes les branches et tous les rameaux.


En généalogie descendante, on distingue la branche principale puis la branche aînée qui descend du premier né, de l’aîné·e, la branche cadette qui descend du second né, du cadet·te et les branches benjamines qui descendent des dernier·e·s né·e·s.


Ma branche patronymique grimpe jusqu’à la 5ème génération. En effet, le premier porteur de mon patronyme de naissance est mon arrière-arrière-grand-père : Anselme OPPORTUNE. Né de père et mère inconnu, autrement dit enfant abandonné et trouvé, ce nom lui a été attribué. Impossible de remonter au-delà en ligne directe.

Mais bien entendu, comme je me suis fixée l’objectif d’étudier toute sa vie, j’ai commencé à établir sa descendance.

La branche principale est donc celle qui descend d’Anselme. Ce sont donc ses enfants. Il en eu quatre à ma connaissance (peut-être plus car il y a 10 ans d’écart entre les deux derniers). L’aîné, mon arrière-grand-père se prénomme Maurice, suivi d’Emile le cadet et de Léontine et Germaine les benjamines. Ils sont chacun auteur d’une nouvelle branche. La branche aînée pour Maurice, la branche cadette pour Emile, la branche benjamine pour Léontine et la branche benjamine 2 pour Germaine. Chacune de ces branches sera à son tour déclinée en branche aînée, cadette et benjamine.

Mon arrière-grand-père, Maurice eut trois enfants : Gabriel, Gaston (mon grand-père) et Albert. Et je n’ai pas encore connaissance de la descendance de sa fratrie. Les trois enfants de Maurice sont donc à leur tour auteur de la branche aînée pour Gabriel, de la branche cadette pour Gaston et de la branche benjamine pour Albert.

Gabriel eut sept enfants, Gaston en eut dix et Albert en eut cinq. Et leurs enfants se marièrent et eurent à leur tour des enfants (ou pas)…


Bien sûr, je me suis essayée à établir ma branche cognatique. A partir de moi-même, je suis remonté vers le passé de fille en mère jusqu'à la 7ème génération. Mon arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère (ma quinquisaïeule) se nommait Jeanne BRIÈRE, elle était journalière à Nogent-le-Rotrou dans l’Eure-et-Loir. Elle eut quatre enfants, deux filles et deux garçons (dont ma quadrisaïeule Marie Françoise BROUARD qui était boiteuse de naissance). Mon objectif est de retrouver son acte de mariage afin d'établir l'identité de ses parents et ainsi remonter d'une nouvelle génération.


À demain pour la lettre C !

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